Bedjaoui Meriem2025-02-022025-02-022020-06-01https://dspace.enssp.dz/handle/123456789/421que la littérature algérienne d’expression française, qu’elle soit de la première génération (M. Dib, M. Ferraoun, M. Mammeri, A. Djebar) ou celle plus récente (Maissa Bey ou encore Kamel Daoud) a montré comment l’humanité a tissé, par le biais de l’écriture, un entrecroisement entre : espace, histoire et société. Comment un passé colonial douloureux, celui de la guerre d’Algérie, peut-il constituer encore de nos jours un prétexte à des fictions ? Mon propos portera sur ces paroles consignées à travers écriture-témoignage et autofiction dont la romancière Maissa Bey rend compte, sans haine mais également sans pardon. C’est à travers les romans Entendez-vous dans les montagnes (2002) et Pierre Sang Papier ou Cendre (2008) que l’auteur choisit de « fictionnaliser » la violence de la colonisation et les affres de la guerre d’Algérie, récits qui feront l’objet de notre communicationfrMaissa BeyRécit pos-colonial- fiction- autobiographie- littérature francophoneLe Recit Colonial Dans La Litterature Francophone AlgrienneArticle